Oui et non. Oui parce qu’on sait trop. Moi, je parle six langues, pas tellement bien. Mais quand même six langues. Alors, je suis partout le monde. Il y a tant de choses qui se passent. Il y a tant de manières de terroriser, tant de manières de le penser. Alors, on sait trop. Mais de l’autre côté, moi quand je fais ma recherche, j’ai des vecteurs très forts, je ne me perds pas. Je sais qu’il n y a pas besoin de savoir tout sur conditions. Il faut savoir quelque chose qui porte, qui bouge, qui peut avoir des conséquences sévères, même si c’est un élément minimal. Alors ça m’aide de trouver vous savez de manières de...